A chaque instant qui passe en vitesse sur cette terre
Je repense à toutes nos joies et nos peines sans cesse
Dans chaque pièce de certaines maisons quelque chose
Dans la tristesse me rappelle à toi, je pense à toi mon fiston
Je veux te dire chaque jour, que tu me manques.
Je sais le langage que tu aurais voulu me faire comprendre
J’aurais adoré en savoir un peu plus chaque jour et réapprendre
Je n’ai peut être pas su un jour me faire entendre et t’entendre
Et chaque instant tu ne peux pas savoir comment tu me manques.
A chaque matin seule je me regarde et me dit que tu es parti
Je ressens ton absence comme une ombre qui me suit et pourtant
Et plus les secondes, minutes et heures passent et plus je ressasse,
Je plonge dans ta pénombre à l’heure du coucher et je me dis tu es là.
Dans le ciel, je te regarde en fumant ma cigarette je me dis c’est allumé.
Et quand le ciel est brumeux, je ne cherche qu’à te retrouver mon étoile
Tu sais que mon cœur faisait Boum à chaque fois que tu m’appelais.
Et maintenant, il fait boum boum tellement tu me manques.
Un soir je me dis : je ne le vois pas, c’est brumeux, espérons qu’il est heureux
Il n’a plus de soucis, il a retrouvé tous ceux qu’il aimait ici et qui sont déjà parti
Il pense à nous, j’en suis certaine sinon pourquoi naitrions nous pour disparaitre
Pour toi mon fils je pense à ceux qui sont près de moi pour m’aider à renaitre
Car depuis que tu es parti, je te le dis une partie de moi aussi avec toi, mon chéri
Je vais me ressaisir et faire plaisir ici sur cette terre à ceux qui m’accompagne
Dans ce douloureux chemin emprunté chaque jour pensant à toi sur ce parcours.
Oui tu me manques
Et tu me manques,
Oui tu me manques,
Et tu me manques.
Oui tu me manques,
Et tu me manques.
Mon fils chéri